« Moi je suis comme saint Thomas : Je ne crois que ce que je vois. »
Tu as certainement déjà entendu cette expression qui sort généralement de la bouche de quelqu’un de très terre à terre et très cartésien. Elle marque un certain manque de confiance dans la parole donnée.
Et si c’était l’inverse? Pour voir les choses qui se passent, dans la vie, autour de nous, on a besoin de leur prêter attention. On prête attention qu’à ce qu’on croit. Si tu crois que les gens sont fourbes et manipulateurs, que chaque action est motivée par un retour sur investissement, une recherche de résultat, que l’amour c’est un marché, alors tu vivras dans un monde entouré de personnes, fourbes et manipulatrices, prête à tout pour gagner et peut être bien jusqu’à la fin de tes jours. Des personnes qui cherchent à te mentir et à cacher leur vrai visage pour atteindre leurs résultats. Pas joyeux… et ça draine une énergie folle d’exister dans ce genre de biotope.
Maintenant si tu commences à croire que chacun essaye de faire au mieux pour lui.
En prenant en compte son intérêt d’abord. Que finalement on est tous un peu les même avec des plaies différentes, des stratégies différentes mais que dans la grande majorité des cas on aspire à être des gens biens, et qu’on essaie chacun de faire ça avec nos billes. Alors ton monde pourrait réellement se transformer.
Tu as peut-être l’impression que tu subis, que ton paysage est verrouillé, que les gens sont ce qu’ils sont et qu’il n’y a rien à faire.
Mais si je te disais que la clé n’est pas d’essayer de faire changer le comportement des autres mais qu’elle se trouve dans ton regard. Et que cette clé c’est toi qui l’a?
Et qu’en faisant ça le monde change autour de toi, on dé-créer des monstres, on guérit collectivement.
On apprendra comment faire ça dans l’Arche,
Guérir individuellement pour soigner le monde.
On va créer le monde de demain, et les relations de nos rêves.
Manifeste toi si tu veux les infos.
Like, partage, commente pour donner de l’écho à tes rêves.
Et on se retrouve de l’autre côté
Avec Amour
Manon